Ma dernière chronique dans L’Echo traite de Georges-Louis Bouchez, désigné en début de semaine comme le responsable d’un éventuel échec de la formation d’un gouvernement Vivaldi. Ou l’histoire sans cesse répétée du vilain petit canard, exclu du groupe parce qu’il n’en respecte pas (toutes) les règles. La chronique est à découvrir ici.
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